Mélendez : "Le mental était la clé"
lundi 1 août 2011
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Les réactions des deux sélectionneurs Ginés Meléndez et Jaroslav Hřebík après la victoire de l'Espagne sur la République tchèque.
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Les réactions des deux sélectionneurs Ginés Meléndez et Jaroslav Hřebík après la victoire de l'Espagne sur la République tchèque, en finale du Championnat d'Europe des moins de 19 ans à Chiajna (Roumanie), remportée par l'Espagne devant la République tchèque.
Ginés Meléndez, sélectionneur de l'Espagne
Premièrement, je souhaiterais féliciter l'équipe tchèque et son sélectionneur. Ils ont bien joué et tactiquement ils étaient très bons, mais en général nous étions la meilleure équipe. La première période a été très disputée. Il était assez difficile de trouver des espaces. Nous avons utilisé les ailes. Une erreur a conduit à leur premier but mais nous avons joué beaucoup mieux après les changements et nous étions les plus offensifs.
Nous avons contrôlé la partie sauf dans les vingt premières minutes où nous avions un ou deux problèmes. Le mental a été la clé et il est extrêmement important dans une finale de garder son sang-froid. Après les changements nous avons causé plus de problèmes à leur défense, en particulier sur les ailes, mais je tiens à souligner à notre force mentale car à deux occasions nous avons dû remonter au score.
C'est la cinquième victoire pour nous chez les moins de 19 ans. Le staff technique, la Fédération et le président sont très fiers. Les joueurs sont extrêmment heureux et le staff partage cette joie.
Jaroslav Hřebík, sélectionneur de la République tchèque
Notre jeu est basé sur l'énergie, la pression et l'activité physique. C'est dommage d'avoir dû aller jusqu'à la prolongation, nous avons débuté un peu faiblement. L'Espagne est une équipe très forte. Chaque joueur est excellent et c'est la raison de leur victoire.
Avant ce tournoi, si j'avais dit à mes joueurs qu'ils affronteraient l'Espagne en finale, ils auraient trouvé cela super. Je leur ai dit quelque chose de similaire avant la prolongation, pour calmer leur nervosité. Ils pleuraient à la fin du match. Mais il n'y a rien à dire dans ces cas-là.