UEFA.com fonctionne mieux avec d'autres navigateurs
Pour profiter au mieux du site, nous recommandons d'utiliser Chrome, Firefox ou Microsoft Edge.

Pyatov serein avant l'examen final

Le Shakhtar Donetsk détient un précieux joyau en la personne de son gardien de but Andriy Pyatov, qui avoue être "calme" avant d'affronter le Werder en finale de la Coupe UEFA mercredi.

Andriy Pyatov, le gardien ukrainien du Shakhtar Donetsk
Andriy Pyatov, le gardien ukrainien du Shakhtar Donetsk ©Getty Images

Le FC Shakhtar Donetsk détient un précieux joyau en la personne de son gardien de but Andriy Pyatov, calme avant d'affronter le Werder Bremen en finale de la Coupe UEFA mercredi.

"Je suis calme"
Du haut de ses 24 ans, l'international ukrainien présente une grande expérience, notamment celle d'avoir gagné le doublé Coupe-championnat la saison dernière, expérience qui pourrait s'avérer précieuse pour le match au stade Şükrü Saracoğlu d'Istanbul mercredi. "Je suis calme", dit-il. "J'ai joué d'autres matches et d'autres finales. Celle-ci, c'est la finale de la Coupe UEFA, elle signifie beaucoup pour tout le monde. Mais la terre n'arrêtera pas de tourner. Nous avons un objectif devant nous et les deux équipes vont se battre pour obtenir le meilleur résultat."

Diego absent
L'ancien n°1 du FC Vorskla Poltava avoue que le club du Weserstadion est "très puissant", même en l'absence du meneur de jeu brésilien Diego, suspendu. "Le joueur qui le remplacera voudra prouver qu'il est aussi bon que Diego", affirme-t-il. Et alors qu'il n'a encaissé que cinq buts en huit matches de Coupe UEFA jusqu'à présent, Pyatov pense que le Shakhtar peut encore s'améliorer. "Nous aurions pu mieux faire", dit-il. "Nous aurions pu jouer différemment pour ne pas encaisser de but. Mais bon, c'est le football. Je dois remercier mes défenseurs. Moi, j'ai un rôle de leader. Plus j'arrive à mener l'équipe, je veux dire la défense, plus c'est facile pour moi."

Mentalité sereine
Le sang-froid de Pyatov reflète la mentalité et les succès des Ukrainiens, qui sont à 90 minutes de leur premier titre européen. "Nous avons pris les matches un par un, sans nous préoccuper de nous qualifier pour la finale", explique-t-il. "Nous avions pour objectif de gagner chaque match. Nous y sommes allés étape par étape en nous préparant psychologiquement à gagner chaque rencontre. Et nous avons réussi comme ça."