Arshavin et Pogrebnyak sur les espoirs russes
jeudi 19 avril 2012
Résumé de l'article
Pour Andrey Arshavin, la Russie peut s'appuyer sur une équipe sembable à celle de 2008 à l'UEFA EURO 2012 mais Pavel Pogrebnyak se méfie du Groupe A.
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La Russie aborde l'UEFA EURO 2012 avec les souvenirs de sa dernière apparition dans la compétition. Son parcours jusqu'en demi-finale il y a quatre ans avait fait les grands titres, et de nombreux joueurs qui ont vécu ce parcours, et qui se sont inclinés face au futur vainqueur, l'Espagne, seront là à nouveau en Pologne et en Ukraine.
Andrey Arshavin avait manqué les deux premiers matches à cause d'une suspension, mais s'est bien rattrapé en marquant le but de la victoire en quart de finale face aux Pays-Bas. L'équipe est soudée et souhaite répondre aux critiques de stagnation. Arshavin a déclaré : "Il y a des avantages parce qu'on se comprend bien, on se connaît bien, on a l'habitude de jouer ensemble."
À l'inverse, Pavel Pogrebnyak n'était pas dans l'équipe de 2008 à cause d'une blessure dans une saison où il avait fini meilleur buteur en Coupe UEFA pour le futur vainqueur, le FC Zenit St Petersburg. C'est devant sa télé qu'il avait suivi la compétition. Aujourd'hui au Fulham FC, il refuse de dire que la Russie est tombée dans un bon Groupe A avec la République tchèque, la Pologne et la Grèce. "La réaction de tout le monde a été de dire que la Russie avait le groupe le plus facile", a-t-il dit. "Évidemment, on ne pense pas, c'est un groupe homogène."
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