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Première pierre à Bordeaux

Des élus et des dirigeants du football local et national ont assisté à la pose de la première pierre du nouveau stade de Bordeaux, utilisé pour l'EURO 2016.

Les travaux devraient s'achever en 2015
Les travaux devraient s'achever en 2015 ©Thomas Sanson/Mairie de Bordeaux

Des élus et des dirigeants du football local et national ont assisté à la pose de la première pierre du nouveau stade de Bordeaux, qui sera l'une des enceintes de l'UEFA EURO 2016.

Les travaux ont débuté il y a plusieurs mois dans la zone de Bordeaux-Lac. Ils s'achèveront dans deux ans. Un écrin ultra-moderne de 42 000 places sera alors inauguré un peu plus d'un an avant le début de la phase finale.

Le maire de Bordeaux et ancien Premier ministre Alain Juppé, le président de la Fédération française de football Noël Le Graët, le représentant de l'actionnaire majoritaire du FC Girondins de Bordeaux Nicolas de Tavernost, le capitaine Jaroslav Plašil, l'entraîneur bordelais Francis Gillot, le président d'EURO 2016 SAS Jacques Lambert, le président de la région Aquitaine Alain Rousset ainsi que Raphaël Ibanez, manager du club de rugby de la ville, faisaient partie des personnalités présentes lors de la cérémonie.

Le stade a été conçu par le cabinet d'architecte suisse Herzog et De Meuron. Il répond au besoin d'un lieu clé pour les spectacles culturels et sportifs dans le sud-ouest de la France. "Aujourd'hui, il n'y a pas de grande ville en Europe sans grand stade", a déclaré M. Juppé. "Le problème de Chaban-Delmas n'est pas qu'il était trop petit, mais il était obsolète. Les deux tiers des spectateurs sont mouillés quand il pleut. Des sites de réception ou des salons totalement inadaptés, des sièges qui ne sont plus aux normes... etc."

Pour M. De Tavernost, "si on veut tenir la distance et garder un budget qui soit dans les cinq à six premiers budgets français, nous avions besoin d'un grand équipement". "On a des perspectives avec ce nouvel instrument. L'EURO 2016 c'était un atout puisque l'État et les collectivités territoriales se sont engagés sur un plan de dix nouveaux stades. Il fallait absolument que Bordeaux prenne le train. On a pris des risques, mais je pense que ça vaut le coup."

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