Guardiola : "Un résultat doublement précieux"
mardi 7 décembre 2010
Résumé de l'article
Les réactions des deux entraîneurs, Josep Guardiola et Kurban Berdyev, suite à la victoire du FC Barcelona 2-0 face au FC Rubin Kazan mardi.
Contenu médias de l'article
Corps de l'article
Les réactions des deux entraîneurs, Josep Guardiola et Kurban Berdyev, suite à la victoire du FC Barcelona 2-0 face au FC Rubin Kazan dans le Groupe D de l'UEFA Champions League mardi.
Josep Guardiola, entraîneur de Barcelone
L'emporter face à une équipe défensive comme le Rubin avec des joueurs qui n'ont pas beaucoup d'occasions rend ce résultat doublement précieux. Lorsque vos adversaires jouent avec cinq ou six joueurs derrière, prêts à contre-attaquer, il est toujours difficile d'ouvrir le score et le Rubin a bien fait son travail. Ce que mes joueurs ont réussi mérite beaucoup de crédit, notamment l'esprit qui les a animés.
Heureusement, nous étions déjà qualifiés. Les équipes d'Europe du Nord sont toujours en avance à ce stade de la saison. Il s'agissait donc d'un groupe très difficile et je suis heureux de sortir invaincu de la phase de groupes pour la première fois en trois ans.
Kurban Berdyev, entraîneur du Rubin
Nous avons aligné notre meilleure équipe mais cela a quand même été très difficile face à l'équipe B de Barcelone. La philosophe du Barça consiste à avoir une possession maximale, et il est difficile d'être créatifs sans le ballon. Nous avons néanmoins commis beaucoup moins d'erreurs ce soir que lors des matches précédents donc nous pouvons tirer des enseignements positifs de la rencontre.
Il est difficile d'affronter Barcelone, quels que soient les joueurs alignés. Il suffit de voir le nombre de jeunes joueurs ce soir, ils comprennent tous le football comme les joueurs de l'équipe A. Nous avons affronté le Barça que le monde entier connaîtra dans quelques années. Notre gros problème, c'est de ne pas créer le danger devant, car nous n'avons pas d'attaquants de niveau supérieur. Nous allons en rechercher pendant la trêve hivernale.