Sedan neutralise l'OM
dimanche 6 août 2006
Résumé de l'article
Ligue 1 : Le dernier match de la 1re journée, dimanche dans les Ardennes, a livré le premier 0-0 de la saison.
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De retour en Ligue 1, le CS Sedan-Ardennes aurait pu remporter plus qu'un point, dimanche, en recevant l'Olympique de Marseille, pour achever la première journée. Le premier 0-0 de la saison n'a pas manqué d'occasions.
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En attendant YB
Marseille et Sedan prennent la 11e place du classement embryonnaire. A quatre jours de son second tour qualificatif aller de la Coupe UEFA, sur le terrain du BSC Young Boys, l'OM semble davantage préoccupé de l'avenir de son meilleur joueur Franck Ribéry que par son niveau de jeu. Le Boulonnais a annoncé qu'il voulait partir, samedi, ce que son président lui refusait dimanche.
Les promus invaincus
Les Sedanais, eux, n'ont aucun vice-champion du monde à conserver dans leur effectif mais montaient sur la pelouse avec l'envie qu'ils ont montrée toute la saison dernière pour accéder à la Ligue 1. Les résultats samedi des autres promus (victoire du FC Lorient 3-2 sur le terrain du Paris Saint-Germain FC, nul 1-1 du Valenciennes FC chez l'AJ Auxerre) leur donnaient des ailes dans un stade Louis Duguauguez rempli.
Boutabout sur le poteau
Cette audace, les Sangliers la portait jusque sur le poteau de Cédric Carasso quand Stéphane Noro trouvait Mansour Boutabout dans le dos de la défense olympienne. L'attaquant ardennais manquait de réussite dans son duel avec le gardien (20e).
Carrasso, quel réflexe !
Yoann Lachor était encore plus proche de concrétiser, un quart d'heure plus tard. A la suite d'un corner dévié au premier poteau, l'ancien défenseur du RC Lens rabattait le ballon de la tête à un mètre de la ligne face au but. Le poignet droit de Carrasso repoussait le ballon par miracle.
Nasri tout près
Marseille réagissait en fin de période mais Mickaël Pagis loupait deux belles occasions. L'ailier droit sedanais Cédric Ducourtioux était ensuite sur sa ligne pour sauver son camp sur une tête de Ronald Zubar (56e). La chaleur et la perspective d'ouvrir son compteur dès le premier match poussaient enfin les deux formations à conserver le score jusque dans le temps additionnel où Samir Nasri manquait de frustrer le public en frappant juse au-dessus après un raid avec Habib Bamogo. Avec 22 buts en 10 matches, la Ligue 1 a mis le contact sur son rythme de l'an dernier (2,13 buts par match). La deuxième journée débutera samedi.