UEFA.com fonctionne mieux avec d'autres navigateurs
Pour profiter au mieux du site, nous recommandons d'utiliser Chrome, Firefox ou Microsoft Edge.

Italie, la sensation jusqu'au bout

Italie 1-0 Norvège
Alice Parisi a marqué en seconde période le seul but de la finale de l'EURO féminin M19.

Italie, la sensation jusqu'au bout
Italie, la sensation jusqu'au bout ©UEFA.com

Alice Parisi a marqué en seconde période le seul but de la finale pour offrir la victoire aux Italiennes dans le Championnat d'Europe féminin des moins de 19 ans de l'UEFA.

Nerveux
Il était difficile de dire laquelle des deux équipes était la plus nerveuse au coup d'envoi. Si l'Italie n'avait jamais joué de match aussi important chez les filles, la Norvège ne disputait que sa deuxième finale chez les moins de 19 ans, après sa défaite contre la France en 2003. C'est peut-être la raison pour laquelle les approximations dominaient à l'entame des débats. June Tårnes, délivrant un superbe ballon pour Ida Elise Enget, à la 12e minute, était la première à trouver le geste juste. Hélas pour la Norvège, sa compatriote avant-centre ne parvenait pas à cadrer une occasion en or qui aurait pu tout changer.

L'Italie plus présente
Les Azzurrine mettaient peu à peu le pied sur le ballon, notamment par Silvia Pisano, en milieu de terrain. Cristina Bonometti, dans la foulée, visait au-dessus en reprenant un corner et, à six minutes de la pause, Diletta Crespi passait elle aussi proche de l'ouverture du score, de même que Pamela Gueli, un peu plus tard.

Fusetti en orbite
Des changements effectués par Corrado Corradini n'allaient pas altérer l'ascendant pris pas les Italiennes. Le sélectionneur transalpin faisait entrer Laura Fusetti à la place de Sabrina Marchese. La remplaçante obtenait une occasion dès son premier ballon sur un service de Parisi, mais sa frappe était droit sur la gardienne adverse Ingrid Thorbjørnsen. Cette dernière allait passer une fin de match très difficile et s'inclinait logiquement à la 71e minute, sur le penalty obtenu par Gueli pour une faute de Gunhild Herregården et transformé dans la lucarne droite par Parisi pour le point final d'un tournoi historique pour l'Italie.