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Sochaux courageux au Pirée

Olympiacos – Sochaux-Montbéliard 1-0
Bien revenus en fin de match, les Français s'inclinent toutefois logiquement sur un but d'Okkas.

Après avoir défait tous ses adversaires en Champions League 1-0 sur sa pelouse, l'Olympiacos n'a pas dérogé à ses bonnes habitudes. L'addition aurait pu être plus lourde pour Sochaux au regard de la domination du champion de Grèce, qui fait bien partie des favoris de la Coupe UEFA. Les Français eurent toutefois l'égalisation au bout du pied en fin de match.

La barre pour commencer
Dès la 3e minute, Teddy Richert voyait le ballon de Spiridon Vallas rebondir sur l'équerre de son but : Sochaux découvrait sans manière le chaudron rougeoyant du plus prestigieux club de Grèce.

Domination grecque
Du haut du stade Karaiskakis trente-deux championnats et vingt coupes contemplaient les Lionceaux. Ces derniers, finalement sans Johann Lonfat mais avec Francileudo Santos et Jaouad Zaïri, rentraient leur griffes en attendant de lancer un contre qui paraissait bien hypothétique à l'issue de la première demi-heure.

Le but d'Okkas
L'action était plutôt sur le but de Richert, notamment sur ce coup franc au 18m de Rivaldo repris par Milos Maric sur lequel se couchait Teddy Richert (20e). En toute logique,
Ioannis Okkas ouvrait le score. Parfaitement lancé par Rivaldo après un tacle d'Athanasios Kostoulas, le Chypriote effaçait Sylvain Monsoreau et trompait Richert de l'intérieur du droit (1-0, 30e).

Deux occasions pour Santos
Dans la foulée, Santos obtenait deux fois la possibilité d'égaliser mais Antonios Nikopolidis tenait son rang de
champion d'Europe et sauvait deux fois les Athéniens (33e,
34e) qui levaient le pied à l'approche de la pause. Mais Rivaldo causait encore quelque tracas aux Franc-Comtois.

Du grand Rivaldo
A la reprise, la maîtrise du ballon était toujours grecque. Okkas devenait de plus en plus insaisissable. Sur un centre prolongé de la tête par Rivaldo Ieroklis Stoltidis était à deux doigts de doubler la mise (54e). Le reste de la rencontre était marqué par la classe de Rivaldo mais aussi par de nouvelles balles de contres gâchées pour Santos et Zaïri. Elles pourraient se faire regretter plus encore dans une semaine à Bonal.