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Karagounis, comme au Portugal

Giorgios Karagounis se délecte de pouvoir jouer à la Pologne, vendredi, le mauvais tour dont fut victime le Portugal, contre son équipe de Grèce en 2004.

Giorgos Karagounis s'entretient avec UEFA.com
Giorgos Karagounis s'entretient avec UEFA.com ©UEFA.com

L'âme de l'équipe grecque Giorgios Karagounis se délecte de pouvoir jouer à la Pologne, vendredi, en ouverture de l'UEFA EURO 2012, le mauvais tour dont fut victime le Portugal, contre son équipe de Grèce, dans des conditions similaires à l'UEFA EURO 2004.

"D'une manière générale, jouer le match d'ouverture d'une grande phase finale procure des sensations fantastiques", affirme Karagounis. Et marquer ? C'est ce qu'a fait le milieu de terrain du Panathinaikos FC, 35 ans aujourd'hui, face au Portugal après sept minutes de jeu ; un but qui a donné la victoire aux Grecs et les a lancés vers l'un des succès les plus inattendus de l'histoire du football de nations.

"Bien sûr, nous avons d'excellents souvenirs du tournoi qui s'est déroulé il y a huit ans au Portugal et j'espère que l'on va encore se fabriquer de bons souvenirs ici. Jouer le match d'ouverture, comme au Portugal, c'est quelque chose de grand pour nous. C'est comme une fête. Je me rappelle que nous étions dans notre bus et il y avait autour de nous tous ces gens, dans la rue à leur balcon. C'était la fête et c'est comme ça que le football devrait être dans les grandes occasions", se souvient Karagounis.

"Sur la pelouse et autour, il y avait aussi une bonne ambiance et les supporters grecs et portugais ont contribué à cela. Pour nous, tout était comme positif et pour moi en particulier avec ce premier but marqué dans le tournoi."

Lors du dernier match de ce Championnat d'Europe, la Grèce battait à nouveau le Portugal, en finale cette fois, pour coiffer la couronne continentale. Un tel scénario est-il envisageable le 1er juillet à Kyiv ? "Les analyses des experts, cela ne nous intéresse pas. Nous nous concentrons sur notre travail et nous avons vraiment foi en notre potentiel. Nous pouvons réussir beaucoup de choses", répond Karagounis. "Il y aura de la pression, il y aura du stress. Mais tout cela nous encouragera à être créatifs. C'est une phase finale, il n'y en a que tous les quatre ans, alors c'est là que l'on donne le meilleur de soi-même."

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