Valbuena prêt pour Naples, l'équipe "inconnue"
mercredi 16 octobre 2013
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Mathieu Valbuena parle avec UEFA.com de l'Olympique de Marseille, des quarts de finale il y a deux ans et de l'hymne de l'UEFA Champions League.
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Mathieu Valbuena évoluait au FC Libourne Saint-Seurin, en troisième division, avant que l'Olympique de Marseille ne donne sa chance à ce garçon d'à peine 22 ans, libéré trois ans plus tôt par le FC Girondins de Bordeaux car il était trop petit. Pas épargné par les blessures, Valbuena a surmonté les difficultés et est désormais international français. Et avant la rencontre de mardi face au SSC Napoli, il parle à UEFA.com de Marseille, de son entraîneur Élie Baup et de l'hymne de l'UEFA Champions League.
UEFA.com : Le fait d'avoir participé aux quarts de finale il y a deux ans peut-il vous aider dans un groupe difficile ?
Valbuena : Oui. C'est vrai que c'est un groupe difficile, mais pas impossible non plus. On a battu Dortmund dans le dernier match (de la phase de groupes 2011/12), ce qui nous a permis de nous qualifier avec Arsenal. On connaît très bien ces équipes, surtout Arsenal parce que beaucoup de Français y jouent et qu'ils ont un entraîneur français. L'équipe inconnue est Naples mais à voir leur recrutement et les investissements qu'ils ont faits, c'est une grande équipe.
UEFA.com : Quels souvenirs gardez-vous de la saison 2011/12 ?
Valbuena : C'était très émouvant car Marseille n'avait pas atteint les quarts de finale depuis longtemps. Ensuite on a rencontré le Bayern et c'était beaucoup plus difficile. On a perdu 2-0 les deux fois. Mais quand vous commencez à jouer la Champions League, vous voulez y participer tous les ans.
UEFA.com : Quelles sont les qualités de votre entraîneur Élie Baup ?
Valbuena : Il ne lâche jamais rien et il essaie d'imposer son style de jeu. Lors de sa première saison, tout le monde a recommencé de zéro. Il a apporté une mentalité de gagneur, de l'agressivité aussi. Tout le monde s'est adapté et on a terminé deuxième. Il ne connaît pas très bien la Champions League, mais personne ne manque de motivation pour ce genre de matches. La motivation vient naturellement quand vous entrez sur le terrain.
Consultez son interview dans la vidéo ci-dessus.
