"Un petit coin de Brésil" à Razgrad
mercredi 28 septembre 2016
Résumé de l'article
Les deux attaquants du Ludogorets, Jonathan Cafú et Wanderson, parlent de leur vie en Bulgarie et de la rencontre face aux Brésiliens du PSG.
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Qu'est-ce qui est différent dans la vie ici par rapport au Brésil ? Est-il difficile d'être loin de son pays ?
Wanderson : C'est difficile, mais c'est devenu plus facile parce qu'il y a beaucoup de coéquipiers brésiliens dans cette équipe. Cela fait que nous nous sentons un peu comme chez nous quelque part. Mais ce fut vraiment dur au début, tout était nouveau, différent mais grâce à Dieu, tout va bien maintenant.
Jonathan Cafú : La plus grande différence, c'est que Razgrad est vraiment une petite ville, là-bas, c'est immense. Il y a beaucoup de choses, dans ma ville (Piracicaba), qu'il n'y a pas ici.
Est-ce que vous restez ensemble, parlant portugais et maintenant vos habitudes de la culture brésilienne ?
Jonathan Cafú : Oui. Tous les Brésiliens sont très humbles. Pendant nos pauses, nous nous réunissons autour d'un barbecue, ce qui est typique au Brésil. Nous amenons un petit coin de Brésil, à Razgrad.
Wanderson : Nous faisons presque tout ensemble. Nous déjeunons et nous dînons ensemble. Il y a vraiment une amitié forte entre tous les Brésiliens ici.
Paris a d'excellents joueurs brésiliens dans ses rangs, comme Marquinhos, Thiago Silva, Maxwell et Lucas. Êtes-vous enthousiastes à l'idée de rencontrer ces compatriotes ?
Jonathan Cafú : Je le suis. Même quand nous étions encore au Brésil, je regardais ces joueurs évoluer pour de grandes équipes, et maintenant, nous sommes prêts à les affronter en UEFA Champions League, l'une des compétitions les plus populaires dans le monde. Alors oui, c'est enthousiasmant.
Wanderson : Très heureux. Je suis vraiment heureux de pouvoir rencontrer à l'étranger des compatriotes brésiliens. J'ai déjà eu cette chance en jouant contre Lucas lorsqu'il était à São Paulo, alors je suis ravi.