Suárez ne se voyait pas au Barça

Luis Suárez a réussi son retour en sélection en offrant le point du match nul à l’Uruguay en terres brésiliennes. Centre de toutes les attentions, el Pistolero s’est livré dans divers médias pour évoquer sa situation.

Luis Suarez©AFP/Getty Images

• Comment le Real a battu BarçaPenalty à deux
• Suárez affole les stats
• Enrique, son Clasico
• Zidane, son Clasico
• Messi évoque Ronaldo

Interrogé par Helden TV (article en hollandais), l'ancien joueur de l'Ajax Amsterdam a ainsi évoqué son arrivée au Barça. “J’ai longtemps rêvé de jouer à Barcelone mais je ne pensais pas être suffisamment bon pour être le numéro 9 de ce club. Tu rêves toujours de jouer avec les meilleurs. C’est désormais mon cas."

Luis Suarez ne se pensait pas assez bon pour jouer au Barça. FAUX !©AFP/Getty Images

L’international uruguayen évoque ensuite sa relation avec les deux autres membres du MSN, Messi et Neymar : "On se moque de savoir qui marque, on ne se préoccupe que de faire en sorte que l’équipe aille bien. Notre objectif commun est clair, nous voulons juste gagner ensemble. Nous sommes heureux, il n’y a aucune jalousie entre nous".

• MSN, les copains d'abord
• Joueur de l'année en Angleterre

Interrogé quelques jours plus tôt par "El Pais" (la vidéo de l'entretien en espagnol est à voir ici), el Pistolero avait déjà évoqué sa relation ses deux compères de l’attaque. “On passe notre temps à rire en semble. Pas seulement sur le terrain mais aussi dans le vestiaire. Il se passe toujours quelque chose, en dehors, sur le terrain, pendant le match, tout est occasion de rire. Pour établir une relation sur le terrain, tu dois connaître la personne, pas seulement au niveau du football mais aussi en dehors. ”

À eux trois, Messi, Suárez et Neymar ont inscrit 69 des 86 buts du Barça en championnat. Meilleur buteur du trio, l’uruguayen n’est qu’à deux buts de Cristiano Ronaldo qu’il croisera ce week-end lors du Clásico. Avant cela, l’Uruguay reçoit le Pérou dans le cadre des éliminatoires pour la Coupe du Monde 2018. Pour la presse péruvienne, il est le “monstre” qu’il faudra “attacher”.