Le Panathinaïkos craint la réaction catalane

Josep Guardiola, entraîneur de Barcelone
Je n'en ai pas voulu aux joueurs (après la défaite de samedi). Jamais nous n'avions eu autant de joueurs de Barcelone dans les équipes nationales. Il a fallu en mettre au repos. Ce n'est pas une excuse, c'est la réalité. On ne peut pas vivre sur les six trophées. C'est une phrase banale, une platitude... L'équipe veut continuer à gagner. Le jour où on accepte la défaite, on change la moitié de l'équipe, ou alors je m'en vais. Je leur mène la vie dure mais je ne peux pas douter d'eux.

Comme d'habitude, je m'attends à faire face à une équipe très forte. Je ne sais pas s'ils vont faire le jeu ou défendre mais le Panathinaïkos est une équipe phare en Grèce avec des joueurs d'expérience, contre laquelle nous voulons revenir à notre meilleur niveau.

Nikos Nioplias, entraîneur du Panathinaïkos
C'est un grand moment pour les fans et pour l'équipe. Tout le monde connaît Barcelone, tout le monde est subjugué par le jeu qu'il pratique. C'est une club très fort, et plus fort encore après une défaite. Mais les surprises, ça arrive. Les trois autres équipes du groupe peuvent terminer à la deuxième place.

Infos équipes
• Barcelone
Carles Puyol est de retour de blessure (mollet). Jeffrén est toujours blessé à la cuisse gauche.

• Panathinaikos
En compagnie de Giourkas Seitaridis (quadriceps) et Antonis Petropoulos (adducteurs), Giorgos Karagounis (cuisse) et Nikos Spyropoulos (genou) était absents ce week-end.

Leur match du week-end
11/09/10 Barcelona 0-2 Hercules CF
(Valdez, 27e, 59e)

11/09/10 Aris Thessaloniki FC 0-1 Panathinaikos
(Cissé 43e, s.p.)
Djibril Cissé a marqué son premier but de la saison.

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