Fàbregas visera le rachat
jeudi 18 février 2010
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Tout en blâmant les errances défensives de son équipe, le capitaine de l'Arsenal FC Cesc Fàbregas croit encore à la qualification malgré le revers 2-1 à Porto.
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Bien qu'attristé par les errances défensives à l'origine de la déconvenue de l'Arsenal FC 2-1 sur la pelouse du FC Porto, le capitaine des Gunners Cesc Fàbregas demeure "confiant" quant à la qualification pour les quarts de finale de l'UEFA Champions League.
Aucune des deux équipes ne s'est particulièrement mise en valeur à l'Estádio do Dragão, mais les plus grosses erreurs ont été commises par les visiteurs. Tout a commencé lorsque le gardien remplaçant Łukasz Fabiański a accompagné le centre de Silvestre Varela dans ses propres filets. Sol Campbell a ensuite égalisé mais le gardien polonais a de nouveau eu sa part de responsabilité sur le deuxième but de Porto, concédant un coup franc indirect en collectant une passe en retrait du même Campbell. Il n'en fallait pas davantage à Falcao pour tromper la défense londonienne.
Fàbregas est convaincu que la balle est dans le camp des Gunners. "C'est vrai, nous n'avons pas su gagner et cela va être difficile pour nous au match retour, mais j'ai confiance en nous. Ce sera un défi pour les deux équipes. Nous verrons laquelle sera la plus forte ce soir-là."
Les statistiques semblent avantager les pensionnaires de Premier League, dans la mesure où Porto a perdu 11 de ses 13 matches en terre anglaise, pour deux matches nuls. Les deux déplacements des Portugais à Arsenal se sont soldés par autant de défaites, le plus récemment sur un score de 4-0 en septembre 2008.
Toutefois, Fàbregas a exprimé sa préoccupation quant à la fragilité de sa défense, exhortant ses partenaires à redoubler de vigilance au deuxième acte. "Nous savions que Porto possédait une équipe très rapide et talentueuse, mais il faut bien reconnaître que nous leur avons offert deux buts sur un plateau", reprend l'international espagnol. "Cela est impardonnable à ce niveau. Nous sommes maintenant menés 2-1 et nous allons devoir nous battre pour revenir."