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Bellion heureux, Harazi positive

La victoire de Bordeaux 1-0 chez le Maccabi Haïfa a suscité des réactions bien contrastées : joie chez le Français David Bellion, bonheur quand même pour Alon Harazi, qui tire sa révérence.

David Bellion est fier du parcours de Bordeaux
David Bellion est fier du parcours de Bordeaux ©Getty Images

La victoire du FC Girondins de Bordeaux 1-0 chez le Maccabi Haifa FC, lors de la 6e journée du Groupe A de l'UEFA Champions League, a suscité des réactions bien contrastées : joie chez le Français David Bellion, bonheur quand même pour Alon Harazi, qui tire sa révérence, à 38 ans.

Cerise et gâteau
"Après le nul contre la Juventus (1-1 lors de la 1re journée), nous n'avons obtenu que des victoires", rappelle Bellion à uefa.com. "C'est fantastique. On ne pouvait rêver mieux. Aujourd'hui, c'est la cerise sur le gâteau car on a joué sans trop de pression et pour ceux qui n'ont pas l'habitude d'être alignés (c'est le cas de l'ancien Niçois et Mancunien), ce fut très bénéfique."

Utile
Haïfa, pourtant souverain en Israël (champion et leader) a perdu tous ses matches sans marquer un seul but. Des circonstances que l'on aurait pu espérer meilleures pour Harazi, 525 matches, dont 66 en Coupes d'Europe. L'international israélien jouait sa dernière rencontre. Il est entré à la 72e minute sous une standing ovation. "Je ne dirais pas que c'est une triste fin", a-t-il déclaré. "Car je repense à ma carrière. J'ai eu la chance d'évoluer dans de grands clubs, avec de grands entraîneurs, de grands joueurs, de grands présidents. Je ne garderai que le meilleur de tout cela."

Belle fin
"Quand j'ai parlé de ma retraite avec le propriétaire de notre club, cet été, je lui ai dit : 'Pour moi, il n'y aurait pas de meilleure fin que la Champions League'. Il a alors voulu que je joue mon dernier match en Coupe d'Europe. Et nous sommes arrivés à atteindre la phase de groupes, comme si c'était notre destin. C'était la deuxième fois pour moi et c'est un grand honneur."