La Fiorentina a trouvé le bon équilibre
jeudi 5 novembre 2009
Résumé de l'article
Marco Donadel pense que le plein de confiance obtenu lors de la large victoire sur Debrecen mercredi permettra à la Fiorentina de se qualifier pour les 8es de finale de la Champions League.
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Marco Donadel pense que le plein de confiance obtenu lors de la large victoire sur le Debreceni VSC peut aider l'ACF Fiorentina à se qualifier pour les 8es de finale de l'UEFA Champions League.
Beaucoup de buts
Après son succès 4-3 contre les champions de Hongrie il y a deux semaines, la Viola a remis ça en s'imposant 5-2 sur les hommes d'András Herczeg. Gergely Rudolf annulait l'ouverture du score d'Adrian Mutu en première période mais Dario Dainelli, Riccardo Montolivo, Marco Marchionni et Alberto Gilardino finissaient Debrecen, qui ne pouvait que se consoler avec un but d'Adamo Coulibaly.
Frein à main
"On voulait commencer sur les chapeaux de roue et marquer rapidement", explique Donadel sur uefa.com. "On voulait leur montrer qu'on avait l'intention de dominer la rencontre et ça a bien marché pendant les 20 ou 25 premières minutes. Mais ensuite, on a remarqué qu'ils nous laissaient la possession du ballon donc on a commencé à essayer de vouloir conserver notre avance mais ça n'a pas marché car ce n'est pas vraiment notre style de jouer avec le frein à main."
"On a lâché du lest"
"Donc après la pause, on a lâché du lest", ajoute le joueur de 26 ans, qui a participé aux six rencontres européennes de la Fiorentina cette saison. "En fait, le match de Budapest était similaire. C'était un vrai spectacle, un match ouvert avec beaucoup d'occasions, contre-attaques après contre-attaques. C'était éprouvant de jouer de la sorte mais on a été récompensés par beaucoup de buts et c'est ce qui s'est à nouveau passé ici."
"Match de notre vie"
Cette victoire mémorable aurait été encore plus belle si l'Olympique Lyonnais avait battu le Liverpool FC une deuxième fois, même si le nul 1-1 entre Français et Anglais permet à la Fiorentina de revenir à un point des hommes de Claude Puel et de laisser les Reds à cinq points à deux journées de la fin. "C'est dommage de ne pas encore être qualifiés mais la compétition est ainsi faite, surtout quand il y a trois bonnes équipes dans le groupe", poursuit Donadel. "Il faudra être prêt pour le match de notre vie contre Lyon, sachant que notre destin est entre nos mains. On doit continuer à jouer comme on sait le faire. On a joué contre Lyon trois fois maintenant et pas une seule fois on méritait de perdre. Cette fois, la chance doit être de notre côté."