Pizarro, bête noire des "Nerazzurri"
mercredi 1 octobre 2008
Résumé de l'article
FC Internazionale Milano 1-1 Werder Bremen
Claudio Pizarro a encore marqué à Milan pour annihiler le but de Maicon et offrir aux Allemands un second nul de rang dans le Groupe B.
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Le FC Internazionale Milano et le Werder Bremen ont partagé les points dans le Groupe B de l'UEFA Champions League. Claudio Pizarro a une nouvelle fois fait cauchemarder le champion d'Italie, en égalisant après l'ouverture du score de Maicon.
Pizarro encore
Pizarro avait déjà fait très mal à l'Inter lorsqu'il était au service du FC Bayern München puisque, en 2006/07, il avait déjà trouvé les filets. Pourtant, cette fois, les champions d'Italie avaient mis toutes les chances de leur côté en attaquant la partie tambour battant, comme en témoignait cette bicyclette de Zlatan Ibrahimović sur un service d'Adriano. Les deux hommes étaient les fers de lance de l'attaque lombarde.
Wiese avisé
Au bout de 13 minutes à ce rythme, Brême cédait avec un brin de malchance. Dans une forêt de jambes, Adriano trouvait Maicon dans le trou. Le Brésilien piquait son ballon au-dessus de Tim Wiese pour l'ouverture du score. Les joueurs de José Mourinho n'étaient pas loin de doubler la mise mais Wiese stoppait au dernier moment Dejan Stanković, servi au millimètre par Mario Balotelli.
Balotelli à côté
Seule réaction allemande : un centre de la droite de Sebastian Prödl pour Pizarro, qui ne trouvait pas le cadre. Avant la pause, l'Inter allait encore manquer le coche à plusieurs reprises. Adriano centrait pour Balotelli, qui gâchait une belle occasion en échouant sur Wiese. La domination "nerazzura" se poursuivait après la pause... jusqu'à ce que Brême saisisse sa chance par l'intermédiaire de Pizarro, à la 62e minute. Le Péruvien était seul pour reprendre un centre de Mesut Özil de la droite et égaliser. Mourinho faisait entrer son compatriote Ricardo Quaresma et Julio Cruz, mais c'est Maicon qui pouvait se mordre les doigts : dans les dernières minutes, l'ancien Monégasque envoyait un coup franc sur le poteau.