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Klose se méfie de la légion du Steaua

L'attaquant Miroslav Klose pense que le Bayern Munich doit se méfier du mélange Amérique du Sud-Europe du Steaua Bucarest lors de son retour en Champions League après un an d'absence.

Mark van Bommel et Miroslav Klose (FC Bayern München) s'expriment en marge du match face au Steaua
Mark van Bommel et Miroslav Klose (FC Bayern München) s'expriment en marge du match face au Steaua ©Getty Images

L'attaquant Miroslav Klose pense que le FC Bayern München doit se méfier du mélange Amérique du Sud-Europe du FC Steaua Bucureşti lors de son retour en UEFA Champions League dans le Groupe F après un an d'absence.

Influence latino
Le Steaua a des airs "latinos" avec trois Colombiens (le gardien Robinson Zapata et les milieux Dayro Moreno et Juan Toja) et une attaque menée par le Brésilien Arthur Bernhardt. "Le Steaua est un mélange de styles colombien et roumain, c'est une équipe solide", affirme l'international allemand. "Les noms des joueurs du Steaua ne sont pas faciles à prononcer mais nous les connaissons suffisamment bien."

"On est de retour"
Le Bayern fait son retour dans la compétition qu'il remportait en 2001 après une année passée en Coupe UEFA. "Il est inutile de nous rappeler qu'on n'a pas joué la Champions League l'année dernière", répète Klose. "On est de retour et on sait que le premier match est important. On doit bien commencer en phase de groupes. Notre objectif est la victoire même si l'ambiance promet d'être chaude."

Ribéry absent
Le Bayern a connu son lot de blessures cet été, notamment celle de l'ailier français Franck Ribéry, qui s'est déchiré les ligaments de la cheville à l'UEFA EURO 2008™ et qui reste toujours sur le banc. "C'est vrai que Franck nous manque mais on espère qu'il sera vite rétabli. On a quand même une bonne équipe", conclut Klose le trentenaire. Le capitaine des Bavarois, Mark van Bommel, se fait l'écho de son coéquipier. Le Néerlandais (31 ans) a tellement joué dans cette compétition qu'il ne se souvient plus de son premier match. Mais après avoir remporté le trophée avec le FC Barcelona en 2006, il connait les enjeux pour les 32 participants. "Une seule équipe peut gagner donc au final, 31 clubs sont déçus", dit-il. "Il faut de la chance, il faut éviter les blessures et les suspensions, et puis il faut bien jouer."