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Le Spartak et le Fenerbahçe cherchent l'inspiration

Unai Emery et Aykut Kocaman ne sont pas complètement satisfaits de leur équipe jusqu'à présent mais espèrent accrocher une place en phase de groupes.

Aykut Kocaman organise l'entraînement du Fenerbahçe avant le barrage aller
Aykut Kocaman organise l'entraînement du Fenerbahçe avant le barrage aller ©AFP

Plus que deux matches pour un potentiel retour en phase de groupes de l'UEFA Champions League pour les FC Spartak Moskva et Fenerbahçe SK. La pression monte et les deux entraîneurs prévoient une vraie bataille en barrages.

Le Spartak s'est mélangé à l'élite du football d'Europe pour la dernière fois il y a deux saisons. Déterminé à oublier cette absence, le club a mis en place Unai Emery au poste d'entraîneur cet été en plus d'engager les milieux internationaux Kim Källström et Romulo.

Avant le barrage aller à domicile, Emery comprend l'enjeu. "Tous les footballeurs veulent participer à la plus prestigieuse des compétitions", dit-il. "La Champions League est la plus prestigieuse de toutes."

Les joueurs doivent encore se qualifier, cependant, et le Fenerbahçe n'est pas du genre à baisser les bras. "Nous nous battrons jusqu'au bout, tout comme eux", ajoute Emery. "Je ne pense pas qu'il soit raisonnable de dire que nous sommes favoris. On verra pendant le match qui est plus fort, mais nos adversaires sont de bonne qualité."

Par ailleurs, les vice-champions de Russie seront privés de Källström justement, blessé, et de défenseurs de taille, notamment Sergei Parshivlyuk et Kirill Kombarov.

De l'autre côté, Aykut Kocaman, l'entraîneur du Fenerbahçe, n'est pas totalement satisfait de l'entame de saison. Pourtant, les Turcs aimeraient retrouver la phase de groupes pour la première fois depuis 2008/09. "Dans notre premier match de Champions League contre Vaslui (3e tour de qualification), nous n'avons pas été très bons", regrette le coach de 47 ans. "J'ai dit à mes joueurs qu'ils devaient s'améliorer s'ils voulaient devenir un sérieux prétendant."

Les inquiétudes ne se sont pas dissipées après le nul 1-1 contre l'Elazığspor, promu, en première journée de Süper Lig turque. Mais même si Kocaman considère le Spartak favori, il pense que son équipe "peut imposer son jeu".

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