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Un champion toujours incisif

Onze mois après sa défaite à Zilina, l'Espagne a repris les commandes du Groupe C avec autorité à la Slovaquie, dominée à Oviedo.

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UEFA.com se penche sur ce qui a changé en un an, alors que les champions d'Europe se rapprochent de la défense de leur titre en France. Analyse en cinq points.

1. Iker Casillas. Le Madrilène (100e capitanat) a été plus présent qu'au match aller perdu 2-1 en Slovaquie. Chaque fois que le danger augmentait devant son but, il a été un excellent dernier rempart

2. Ils ont ouvert le score. On connaît tous le jeu de l'Espagne, fait de possession et quand cette approche offensive porte ses fruits et que l'Espagne marque le premier but, comme samedi, elle est en position idéale. À Zilina, la Slovaquie a mené et a pu se consacrer à la défense, repoussant l'égalisation jusqu'à huit minutes de la fin.

Diego Costa a obtenu le menalty sur le deuxième but
Diego Costa a obtenu le menalty sur le deuxième but©AFP/Getty Images

3. Diego Costa. Un but en huit matches, certes, mais cette fois le buteur de Chelsea a apporté une très belle contribution à la victoire de l'Espagne, en obtenant un penalty transformé par Andrés Iniesta.

4. Matúš Kozáčik. Le gardien de la Slovaquie a été l'homme du match aller en octobre dernier. Cette fois, il a une responsabilité sur les deux buts espagnols. Il a hésité à sortir sur le premier but de Jordi Alba. C'est lui ensuite qui a mis à terre Diego Costa sur une intervention mal dosée.

5. Beaucoup d'absents. Ján Kozák, le sélectionneur de la Slovaquie, devait se passer de Ján Ďurica et Martin Škrtel, ses deux centraux. Juraj Kucka, auteur de l'ouverture du score à l'aller, était suspendu alors que Vladimír Weiss et Viktor Pečovský ont également manqué.  

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