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Le Stade de France de A à Z

Des larmes de Dimitri Payet à celles de Cristiano Ronaldo, en passant par des défenses de fer et des attaques de feu, revivez l'UEFA EURO 2016 à Saint-Denis sous forme d'abécédaire.

Le Stade de France de A à Z
Le Stade de France de A à Z ©Getty Images

A comme… "As armas". Si longtemps que le public portugais attendait ça… Alors il a entonné son hymne fièrement durant de longues minutes pour pousser la Selecçao à résister aux derniers assauts français en finale. Un vrai 12e homme !

B comme… Buffon et sa BBC. L’Italie d’Antonio Conte a livré un des plus beaux matches de l’EURO à Saint-Denis, pour éliminer le tenant du titre espagnol en 8es (2-0). Portée par son gardien Gianluigi Buffon et son trio défensif Barzagli-Bonucci-Chiellini, il ne pouvait pas arriver grand-chose à la Nazionale ce jour-là.

C comme… Clapping. Balayés par les Bleus en quarts de finale (5-2), les joueurs islandais ont reçu l’hommage qu’ils méritaient au coup de sifflet final. Un clapping de toute beauté qui est d’ailleurs devenu très à la mode dans les stades, y compris à Saint-Denis pour la finale.

D comme… Del Bosque. Reverra-t-on le sélectionneur espagnol sur un banc ? Vicente Del Bosque a peut-être dirigé son dernier match à l’occasion du 8e de finale perdu face à l’Italie (0-2). À court de solutions, il n’a pas pu changer le visage de sa Roja, qu’il avait menée sur le toit du monde (2010) et de l’Europe (2012).

E comme… Eder. Régulièrement critiqué pour son style et son inefficacité, l’attaquant portugais est désormais une légende vivante dans son pays. Il restera à jamais l’homme qui a offert son premier titre au Portugal, d’une frappe croisée des 20 mètres à la 109e minute face aux Bleus…



F comme...  Furia bleue. Quel festival offensif ! En quarts de finale face à l’Islande, personne ne pouvait arrêter les attaquants français. Les Bleus ont vite plié l’affaire, menant 4-0 à la pause pour un succès final 5-2.

G comme... Griezmann. Il n’aura marqué qu’un de ses six buts du tournoi au Stade de France (contre l’Islande), mais l’enceinte dionysienne a bien assisté à l’avènement du nouveau leader des Bleus au cours de cet UEFA EURO 2016.

H comme… historique. La première victoire en grand tournoi pour l’Islande (contre l’Autriche, 2-1), et pour conclure, le premier trophée majeur brandi par la sélection portugaise. L’histoire s’est bien jouée à Saint-Denis cet été…

I comme... Ingénieur. Comme le surnom de Fernando Santos, sélectionneur du Portugal. Un maître tacticien qui a réussi à mener son équipe jusqu’à la victoire finale, dimanche au Stade de France, comme il l’avait promis il y a quelques semaines.



J comme... Jeune. Très jeune, même, Renato Sanches ! À 18 ans, le milieu de terrain portugais est devenu le plus jeune joueur à disputer une finale de l’EURO, et à devenir champion d’Europe. Il a même été élu meilleur jeune joueur de la compétition. Ça promet.

K comme… Kamil Glik. Le leader de la défense polonaise a livré un grand match au Stade de France pour éteindre l’attaque allemande lors du premier tour (0-0). Le néo-Monégasque a d’ailleurs été l’un des meilleurs à son poste dans cet EURO.

 

Putting your head where it hurts 💪💪 #EURO2016

Une photo publiée par UEFA EURO 2016 (@uefaeuro) le16 Juin 2016 à 12h35 PDT

L comme… Larmes. La finale de l’EURO a été chargée d’émotion. Le premier à craquer fut Cristiano Ronaldo, contraint de céder sa place avant la demi-heure de jeu. Mais le capitaine portugais ne pleurait plus deux heures plus tard, au contraire des Blaise Matuidi, Antoine Griezmann ou André-Pierre Gignac…

M comme… Magique. Au cours des 7 matches disputés au Stade de France, les émotions ont été multiples, les matches intenses, et l’ambiance simplement magique !

N comme… N’Golo Kanté. Pour son premier match dans un grand tournoi, le milieu de Leicester City a été partout pour colmater les brèches face à la Roumanie (2-1). Le but libérateur de Dimitri Payet ne serait d’ailleurs jamais arrivé sans une (énième) récupération de Kanté…

O comme... On ne passe pas ! À Saint-Denis, les défenseurs ont régulièrement été à l’honneur dans cet EURO. Quatre d’entre eux ont même été élus Homme du match : Jérôme Boateng (Allemagne-Pologne), Kari Arnason (Islande-Autriche), Leonardo Bonucci (Italie-Espagne) et Pepe (Portugal-France). Solides !

P comme… Payet.
Le Stade de France a basculé dans la folie le 10 juin, lorsque la frappe de Dimitri Payet s’est logée dans la lucarne pour offrir la victoire aux Bleus dans le match d’ouverture contre la Roumanie (2-1). Didier Deschamps lui a ensuite offert une ovation en le faisant sortir, provoquant une grosse émotion chez son joueur. Mémorable !

R comme… Record. Jamais une équipe n'avait inscrit quatre buts en une mi-temps dans l'histoire de l'EURO. Les Bleus l'ont fait, grâce à 45 premières minutes de feu contre l'Islande !

S comme… Sonnés. Il a fallu un moment aux supporters français pour réaliser qu’ils avaient bien perdu "leur" finale, face au Portugal. Certains se demandent peut-être encore comment le titre a pu échapper aux Bleus…

T comme... Touches. Une longue touche d’Aron Gunnarsson, une déviation de Kari Arnason et un but de Jon Dadi Bödvarsson. Face à l’Autriche, l’Europe a découvert l’arme fatale islandaise. Avec eux, une touche, c’est comme un coup de pied arrêté…

U comme... Une si longue attente. En marquant contre l’Islande en quarts (5-2), Paul Pogba a mis un terme à près de deux ans sans but avec les Bleus ! La Pioche n’avait plus trouvé le chemin des filets en équipe nationale depuis le 11 octobre 2014 (France-Portugal, 2-1).

W comme… Wes Hoolahan. Le "Messi irlandais" a mis son équipe sur les bons rails en ouvrant le score face à la Suède (1-1 au final). Une belle reprise du pied droit qui a fait chavirer le virage des supporters des Boys in Green…

Y comme... Yes. Elle a dit oui. Avant le coup d’envoi du quart de finale face à la France, un supporter islandais a profité de la Kiss Cam pour… demander sa compagne en mariage ! Et mademoiselle a donc accepté.

Z comme... Zlatan.
Trois semaines après avoir inscrit un doublé pour son dernier match avec le PSG en finale de la Coupe de France (4-2 contre l’OM), Zlatan Ibrahimovic a retrouvé le Stade de France pour y affronter l’Irlande. Un match frustrant pour le capitaine suédois, qui a tout de même provoqué un but contre son camp…