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Lallana : "Un match particulier"

Adam Lallana a hâte d'affronter une sélection du Pays de Galles dont il jure qu'elle ne repose pas seulement sur le talent de Gareth Bale.

Adam Lallana (Angleterre)
Adam Lallana (Angleterre) ©Panoramic

Difficile pour un joueur aussi jeune qu'Adam Lallana (28 ans), de répondre au journaliste néerlandais sur la rivalité anglo-galloise. En effet, la dernière victoire du Pays de Galles contre le voisin anglais (1-0, but du débutant Mark Hughes), remonte à 1984. Pour Lallana, la dimension humaine prévaut sur le contexte historique.

"C'est un match particulier parce que nous nous connaissons très bien, de par nos parcours en club." Lallana lui-même retrouvera Joe Allen et Danny Ward, ses coéquipiers à Liverpool. "Je leur ai parlé la semaine dernière, mais pas sûr que je leur parle avant le match ! Cette ambiance britannique qui entoure le match sera plaisante, tant pour les spectateurs des deux camps que pour les fans neutres."

Sans surprise, dans les rangs du Pays de Galles, c'est Gareth Bale, ancien coéquipier de Lallana à Southampton, qui attire tous les regards.

Pourquoi l'Angleterre peut encore y croire

"J'ai joué avec Gareth quand nous étions plus jeunes. Il a énormément progressé, et aujourd'hui il est au top. C'est un bon ami, un excellent joueur, mais ce n'est pas le seul. Il y a aussi Joe Allen, avec qui j'ai aussi eu le plaisir d'évoluer. Ils ont aussi Aaron Ramsey. Il ne faut pas être naïfs et ne pas se concentrer uniquement sur Gareth."

Lallana a également parlé de la "tristesse" de n'avoir fait qu'un match nul 1-1 contre la Russie, même si la déception est passée. "Vous avez vu notre début de match, nos intentions. Nous avons quelques réglages à faire pour être plus tueurs." D'autant que Lallana a manqué deux superbes occasions en première période.

Désormais, l'Angleterre a deux points de retard sur le Pays de Galles, mais pas d'inquiétude : "Nous sommes habitués à jouer sous pression. C'est quelque chose que nos joueurs savent gérer. Nous n'avons plus qu'à corriger le tir, et, espérons-le, tout ira mieux."