L’EURO 2016 à l’Assemblée Fédérale de la FFF
samedi 13 décembre 2014
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Le Président d’EURO 2016 SAS, Jacques Lambert, était présent ce samedi à l’Assemblée Fédérale de la FFF pour faire le point sur l’organisation de l’EURO en France.
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L’Assemblée Fédérale de la Fédération Française de Football (FFF) était réunie à l’Hôtel Méridien Etoile ce samedi. Invité de cette réunion, Jacques Lambert a effectué un point sur les avancées de l’organisation de l’EURO qui aura lieu en France du 10 Juin au 10 Juillet 2016.
Le Président de la Fédération Française Noël Le Graët a ouvert la séance, se félicitant de l’affluence présente à cette Assemblée et du travail accompli lors de l’année écoulée. "L’Euro 2016, c’est demain mais c’est déjà aujourd’hui pour nous. Nous voulons que l’Euro rayonne partout et soit une fête partout en France," a ajouté Brigitte Henriques, secrétaire générale de la Fédération, en introduction de la séance.
Au cours d’une allocution d’une vingtaine de minutes, Jacques Lambert, a ensuite fait part de sa confiance dans la livraison des stades dans les temps. A ce jour, cinq stades sont d’ores et déjà opérationnels (Saint Denis, Lille, Nice, Marseille, Saint Etienne), deux en construction (Bordeaux et Lyon) et trois en rénovation (Paris, Lens, Toulouse).
Le Président de l’EURO 2016 SAS a également exposé le catalogue des camps de base mis à la disposition des associations nationales ; catalogue pour la première fois accessible en ligne. « Nous avons sélectionnés 66 camps de base répartis sur l’ensemble du territoire au-delà du périmètre seul des villes hôtes," a détaillé Mr Lambert, répondant ainsi à la volonté de l’EURO 2016 SAS d’impliquer toute la population dans l’accueil de cet évènement.
Concernant l’ouverture de la réservation des billets, Jacques Lambert a confirmé qu’elle commencerait "pour le grand public symboliquement un an avant le début du tournoi, le 10 juin 2015." Il a également tenu à rappeler toute l’étendue des retombées positives que l’organisation de la troisième plus grande compétition internationale allait générer pour la France.
"L'accueil de l’Euro n'est pas qu’un coût pour le pays, il rapporte aussi des retombées et des rentrées notamment fiscales. Au vu des chiffres, il me semble difficile de prétendre que l’Euro est un événement négatif pour la France", a développé le Président Lambert. Avant de préciser que « ce qui est en jeu, c’est l’attractivité de la France en termes économique et d’accueil de grands évènements, puis de conclure que "ce qu’il faut, c’est maintenir cette capacité pour les années à venir."