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Wanyama se plaît au Celtic

Révélation du Groupe G avec le Celtic FC, Victor Wanyama parle de Xavi Hernández, de son uméro de maillot et de sa vie à Glasgow.

Victor Wanyama a marqué contre Barcelone
Victor Wanyama a marqué contre Barcelone ©Getty Images

Le football coule dans les veines du milieu défensif du Celtic FC Victor Wanyama. Son père Noah, ailier gauche, était international kényan. Son frère McDonald Mariga évolue au Parma FC et deux autres membres de la fratrie jouent en Première Ligue kényane. International à 15 ans, Victor a rejoint Mariga à l'Helsingborgs IF en 2007, avant de rallier le K. Beerschot AC un an plus tard.

Le Celtic l'a recruté en juillet 2011 et il a choisi le N° 67 en hommage à l'équipe du Celtic vainqueur de la Coupe des clubs champions européens face au FC Internazionale Milano à Lisbonne en 1967. Chouchou de Cletic Park, il progresse constamment, à l'image de sa tête victorieuse face au FC Barcelona, lui qui adore sa vie à Glasgow.

Qui t'a appris que seul le travail menait au succès ?
Ma mère et mon père ont toujours travaillé dur. On forme une grande famille et ça n'a pas toujours été facile de nous élever, d'offrir à chacun ce dont il avait besoin. Mon frère Mariga a été mon inspiration. J'ai bossé pour lui ressembler, pour faire aussi bien que lui et jouer dans un grand club, comme le Celtic.

Quelles ont été tes premières impressions en arrivant à Glasgow ?
La ville, le stade, les supporters... Il y a beaucoup de passion. Les fans adorent le football. Des supporters pareils, il n'y a rien de mieux pour un joueur.

Mis à part tes buts, qu'est-ce qui te rend aussi populaire auprès des fans du Celtic ?
Mon style de jeu et mon numéro de maillot – il renvoie à l'histoire du club. Je sais l'exploit que l'équipe a accompli cette année-là, alors j'ai choisi le N° 67.

Quels étaient tes joueurs préférés quand tu étais petit ?
Je regardais la Premier League et j'adorais Paul Scholes, Patrick Vieira et Roy Keane. C'était incroyable de voir toute la passion qu'ils dégageaient.

Qu'as-tu ressenti au moment de jouer contre Xavi Hernández ?
C'est l'un des meilleurs joueurs au monde, il est excellent ! C'est dur de se mettre à son niveau, il ne perd pas un ballon et il faut vraiment s'arracher pour le récupérer. On a appris contre le Barça qu'il fallait essayer de conserver le ballon et de les prendre en contre.